6 octobre 2012
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Ce long été est passé,
A travers les mailles du filet,
Qui retiennent les souvenirs inoubliables,
Pensant cela jamais réalisable.
Toujours en vie, quand même parti,
Au paradis des libres penseurs,
Celui hébergeant ce qu'est folie,
Oubliant chacune de tes rancoeurs.
Le sourire aux lèvres, tu gardes,
Reflétant l'homme que tu étais,
Assiégeant des milliers de boutades,
Mais étrangé à qui tu as été.
Et je suis sincèrement désolé,
De ne pouvoir regarder ton visage,
De peur que des larmes ne se dégagent,
Reflétant ce dur et lourd regret.
A Pascal...